Publié le 26-07-2011 à 19h48
Il ne reste que peu de traces signifiantes du passage des TOD. Quelques bâtiments qu’un œil averti identifiera, quelques tracés de rues et de chemins que l’historien reconnaîtra.
Dans l’agglomération lyonnaise il ne reste aucune trace. La gare de Lyon – Monplaisir est détruite depuis longtemps, de même que celle de Saint-Priest. Quand aux tracés, ce sont ceux des rues et des routes.
Les édifices qui sont encore visibles entre Lyon et Saint-Marcellin sont les bâtiments-voyageurs d’Heyrieux (à côté du stade municipal), Diémoz (au nord du rond-point entre les RD 36 et 518), Saint-Georges-d’Espéranche (avenue de la gare), Saint-Jean-de-Bournay (dans l’enceinte du stade, à ne pas confondre avec la gare des CEN, à 150 mètres en bordure de la RD 518), Semons (difficile à reconnaître du fait d’une rénovation lourde), La Côte-Saint-André (intégrée au centre d’incendie et de secours), Saint-Siméon-de-Bressieux (maison privée à l’écart de la route), Viriville (centre de soins médicaux), Roybon (office de tourisme intercommunal), et Saint-Antoine-L’Abbaye (en bordure de la RD 27). De plus, à Roybon le bâtiment du dépôt-atelier est toujours présent et reconnaissable.
Parmi les ouvrages, les deux tunnels de la ligne de Lyon à Saint-Marcellin existent toujours. Celui de Saint-Siméon-de-Bressieux sert au passage d’une rue. Celui de Dionay ainsi qu’une longueur importante du site propre du tramway de part et d’autre sont intégrés à un chemin de randonnée.
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