Publié le 07-11-2020 à 21h26 (mis à jour le 03-08-2021 à 22h39.)
La naissance de la ligne Rhônexpress du tramway est certainement l’une des plus complexe de tout le réseau de transport en commun. Pour bien en comprendre les raisons, il est nécessaire de rappeler qu’elle roule pour la moitié de son parcours sur les rails de la ligne T3 du tramway urbain. Ce tronc commun reprend l’emprise de la ligne du CFEL. Cette ligne, fermée au voyageurs avant la seconde guerre mondiale, a connu jusqu’aux années 1970 un trafic marchandise intense jusqu’à Crémieu. La fin de la concession au 31 décembre 1976 n’entraîne pas de changement notable, avec uniquement la mise en place d’un nouveau concessionnaire par les propriétaires de l’infrastructure, les conseils généraux de l’Isère et du Rhône. Dès cette époque des réflexions ont commencé à envisager de réutiliser cette ligne pour la desserte du nouvel aéroport de Lyon – Satolas. En 1987, le conseil général de l’Isère a décidé unilatéralement, comme il l’avait déjà fait 49 ans auparavant pour la ligne 16 de tramway de la compagnie OTL, d’interrompre l’exploitation de la ligne sur son territoire. Le conseil général du Rhône a confié l’exploitation du tronçon restant entre la Part-Dieu et la zone industrielle de Meyzieu à la SNCF. Alors que le trafic marchandise a régressé régulièrement, le nombre d’études sur le devenir de la ligne a cru exponentiellement. Toutes les collectivités ont eu leur idée pour cette infrastructure, et la desserte de l’aéroport, ces deux problématiques apparaissant désormais comme liées.
La SNCF, voyant midi à sa porte, a défendu une solution en train classique, soit une desserte de l’aéroport à partir de raccordements sur les lignes de Lyon à Ambérieu ou Lyon à Grenoble, et suivant le tracé de la LGV Rhône-Alpes alors à construire, soit en empruntant la voie du CFEL. Cette dernière option a donné lieu à de multiples variantes partant soit de la Part-Dieu, soit s’interconnectant avec les lignes de l’ouest lyonnais par un tunnel entre Gorge de Loup et Part-Dieu.
Le conseil régional, le conseil général, et la communauté urbaine ont lancé aussi des études, qui sur un tramway, qui sur un métro faisant le crochet ou non par Eurexpo, qui sur un mégabus (autobus bi-articulé en site propre), qui même sur un téléphérique Poma. Bref, les idées ont fusées. Cependant un certain nombre d’options ont progressivement été écartées. Ainsi, l’interconnexion avec le réseau ferroviaire de l’ouest lyonnais par un tunnel sous le centre-ville dont les estimations financières ont fait tourner la tête de tous les comptables publics a rapidement été marginalisée.
De plus, au début des années 1990, le tramway avait encore une réputation sulfureuse, et le mégabus n’était pas vraiment porteur de la modernité et du confort demandé pour une desserte aéroportuaire. Le projet qui avait été retenu à l’époque, connu sous le nom de SATORAIL, était donc ferroviaire classique. La voie du CFEL, partiellement doublée, aurait vu circuler des trains de banlieue jusqu’à l’aéroport qui auraient été aussi interconnecté avec la ligne de Lyon à Grenoble à hauteur de Saint-Quentin-Fallavier. Des réservations d’emprises ont même été réalisées pour son exécution lors de la construction de la LGV Rhône-Alpes.
Pourtant, rien n’a vraiment bougé. Il faut dire que le Conseil Général, propriétaire de l’infrastructure du CFEL se voyait bien en chef d’orchestre de l’opération. Or la loi ne prévoyait pas à l’époque la possibilité pour un département de piloter un projet ferroviaire, ce domaine relevait uniquement de la région et de l’État. Ainsi, jusqu’en 1998 un statut-quo, de moins en moins confortable au fur et à mesure que les demandes des habitants de l’est lyonnais se font plus pressantes, est demeuré.
À ce moment-là, le conseil général, conscient de l’impasse dans laquelle il se trouvait, a choisi de débattre avec la communauté urbaine de Lyon et le SyTRAL pour arriver à un accord. En effet, le SyTRAL avait approuvé le PDU de l’agglomération en 1997, et dans ce document figurait un axe fort A9 de Meyzieu à Perrache via la Part-Dieu. La réalisation de ce projet, pour que cette ligne soit réellement performante, passait quasi-obligatoirement par l’utilisation de l’emprise du CFEL. Les débats se sont alors poursuivis jusqu’au 21 février 2001, et ont débouché sur un accord de principe sur le schéma de réalisation d’une ligne de tramway avec une double exploitation sur la partie incluse dans le périmètre du SyTRAL. Une ligne omnibus gérée par le SyTRAL et une ligne express gérée par le Conseil Général.
Une fois cet accord obtenu, les choses se sont progressivement se débloquées. Le SyTRAL a procédé à l’enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique du 2 février au 5 mars 2004 pour le tronçon entre la Part-Dieu et Meyzieu zone industrielle. Cette enquête a permis à de nombreux citoyens d’exprimer leur accord sur ce projet… Mais aussi de contester le terminus de la Part-Dieu que le SyTRAL avait fixé à la Villette, à l’est de la gare, alors que l’attractivité et l’activité du quartier sont à l’ouest. Malgré les nombreuses protestations argumentées, le SyTRAL a choisi de ne pas modifier son projet. Le 21 juin 2004 le préfet signe l’arrêté n°2004-2601 déclarant d’utilité publique le projet d’aménagement de la ligne de tramway LEA par le Syndicat mixte des Transports pour le Rhône et l’Agglomération lyonnaise (SYTRAL) entre Lyon et Meyzieu
. Entre temps, le 29 avril 2004, le SyTRAL et le Conseil Général ont signé une convention « relative à l’utilisation du domaine départemental en vue de la réalisation d’une infrastructure de transport ferroviaire de type tramway » d’une durée de 70 ans. Cette convention a donné tous les droits et devoirs de maître d’ouvrage pour la réalisation et l’exploitation de l’infrastructure au SyTRAL sur le tronçon entre la Part-Dieu et Meyzieu. En contrepartie, celui-ci met à disposition du conseil général sur cette infrastructure un nombre de sillons défini par la convention, et nécessaires à l’exploitation du service express.
Ainsi est devenu possible la réalisation de la ligne que le SyTRAL a appelé Ligne de l’Est de l’Agglomération (LEA), ultérieurement appelée T3 entre la Part-Dieu et Meyzieu zone industrielle. Le président du conseil général, Michel Mercier qui est aussi parlementaire, est parvenu quasiment dans la foulée à faire inscrire dans la loi la compétence ferroviaire dont il rêvait pour son assemblée. Il a amendé dans ce sens la loi relative aux libertés et responsabilités locales qui a été promulguée le 13 août 2004. Ainsi naquit le projet de la Ligne ExpresS LYon Saint-Exupéry, LESLYS.
Pendant que le SyTRAL lançait la construction de LEA à l’été 2004, le conseil général se hâtait lentement, car il hésitait sur le tracé au niveau de Pusignan. Soit il choisissait de reprendre le tracé du CFEL jusqu’à la LGV, puis de la longer jusqu’à l’aéroport… Au risque de faire naître une demande de desserte par les habitants de Pusignan, soit il choisissait de contourner largement Pusignan par le sud en déstructurant une zone agricole. C’est cette dernière option qui a finalement été retenue. De même, la concession sur une durée de 30 ans a été adoptée comme mode de construction et d’exploitation des services de LESLYS. Après mise en concurrence, c’est la société Rhônexpress SAS dont les actionnaires sont la Caisse des Dépôts et Consignations (36,6 % du capital), Véolia Transport (28,2 %), le groupe de BTP Vinci (28,2 %), Vossloh infrastructures services (4,2 %) et Cegelec centre-est (2,8 %) qui a été retenue. Le contrat de concession est signé officiellement entre le conseil général et la société Rhonexpress le 8 janvier 2007. En contrepartie de la construction et de l’exploitation, la société reçoit une subvention de 31,35 millions d’euros pour la construction de la ligne, et une subvention annuelle maximale de 3,5 millions d’euros indexée au taux de 2 % l’an. Soit une dépense totale de 173,38 millions d’argent public sur la durée de la concession.
Entre temps, le SyTRAL a rempli sa part du contrat, en construisant la ligne entre la Part-Dieu et Meyzieu. Du fait de l’antériorité ferroviaire de l’emprise, peu de travaux ont été nécessaires en dehors de l’élargissement de la plateforme pour poser deux voies. Seuls deux chantiers important de génie civil ont jalonné le tracé en plus de la construction du dépôt-atelier à Meyzieu. D’une part l’élargissement du pont de franchissement de la rocade est (RN 346) et d’autre part la construction par anticipation d’une trémie sous le boulevard autoroutier urbain est. Il a aussi fallu créer une jonction avec la ligne T1 au niveau de la station Thiers – Lafayette, ce qui a interrompu la circulation sur celle-ci durant les deux mois d’été 2005. Le reste de la réalisation a été simple avec notamment des voies posées sur ballast, beaucoup moins chère que la pose sur béton employée jusqu’alors. C’est ainsi que LEA, devenue T3 a été inaugurée le 27 novembre 2006 et mise en service le 4 décembre suivant.
La société Rhônexpress SAS, désormais aux commandes de LESLYS, n’a pas perdu de temps. L’enquête préalable à la déclaration d’utilité publique s’est tenue du 24 septembre au 26 octobre 2007. Malgré un avis défavorable rendu par le commissaire enquêteur (notamment sur la question de la déstructuration de la zone agricole de Pusignan, mais aussi sur la sécurité de l’arrivée à l’aéroport), l’utilité publique a été déclarée le 10 juillet 2008 par l’arrêté préfectoral n°2008-3784, moyennant quelques adaptations de détails du projet (arrivée de la ligne à l’aéroport). Les travaux ont débuté dans la foulée à l’automne pour construire les 7 kilomètres de voie entre Meyzieu et l’aéroport. Là, le chantier a été plus important que sur le tronçon construit par le SyTRAL. En effet, le tracé a dû être créé ex-nihilo et plusieurs franchissements dénivelés de routes ont dû être édifiés. L’infrastructure comporte d’ailleurs une petite bizarrerie, avec un cours tronçon de voie unique avant d’arriver à la gare de l’aéroport. Cette solution a été retenu pour respecter la distance de sécurité avec la LGV tout en évitant des terrassements significatifs ou la construction d’un mur de séparation.
En juillet 2009, alors que la construction de la ligne avançait rapidement, avec la pose des rails et de la ligne aérienne de contact, le concessionnaire a choisi d’abandonner l’acronyme LESLYS pour l’exploitation de la ligne, et de désormais employer l’appellation Rhônexpress.
Le 17 décembre 2009, les deux premières rames Stadler de type Tango ont été livrées au nouveau dépôt de la société Rhônexpress à Meyzieu. Les essais en ligne ont débuté le 10 février 2010. La société Rhônexpress a alors fait appel a son actionnaire Véolia Transport pour constituer la société CFTA Rhône (rebaptisée en 2019 Transdev Rail Rhône) qui exploite la ligne pour son compte.
La mise en service des tramways Rhônexpress a eu lieu le 9 août 2010, avec une station provisoire à l’aéroport. En effet, l’intégration dans le site du terminus définitif, contre la gare SNCF a nécessité l’intervention de l’architecte Santiago Calatrava qui l’avait dessinée. La structure qui a été édifiée est complexe et demandait des entreprises très expérimentées aussi plusieurs appels d’offres ont été déclarés infructueux. Cela a retardé la mise en service définitive de cette station qui n’a finalement eu lieu que le 21 juin 2011.
Le 12 novembre 2012 le tracé de la ligne a été rectifié au sud de la rue Paul-Bert à proximité de la Part-Dieu. En effet, à cet endroit, depuis sa mise en service la ligne faisait une baïonnette très serrée pour éviter un îlot urbain. Dans le cadre de la restructuration du quartier, l’îlot a été détruit. Ces travaux et l’interruption longue de la circulation qu’ils ont entraîné ont été l’occasion de raccorder la ligne T4 arrivant du sud à cet endroit, et allant rejoindre la ligne T1 en direction de La Doua par les voies de T3/Rhonexpress. Dans le même temps, des travaux connexes à la desserte du futur grand stade de Décines ont eu lieu : Création, toujours sur le même site de la station Part-Dieu-Sud, ajout de positions à quai et de branchements à Vaulx-en-Velin – La Soie, installation des branchements pour la desserte du stade à proximité de la rocade est et ébauche du prolongement à Meyzieu Les Panettes en arrière-gare de la station Meyzieu ZI.
Lors de la création de la Métropole de Lyon, le 1er janvier 2015, cette dernière est devenue l’autorité concédante de la ligne Rhônexpress en lieu et place du conseil général du Rhône, mais elle a immédiatement transféré cette responsabilité au SyTRAL qui est ainsi devenu le propriétaire unique de l’ensemble des lignes T3 et Rhônexpress. Cette évolution institutionnelle n’a toutefois pas modifié le contenu de la convention avec la société Rhônexpress qui continue de s’appliquer jusqu’à l’échéance de la concession.
Dès la mise en service de la ligne, les tarifs très élevés des trajets ont suscité de nombreuses critiques. En effet, pour un voyage d’une semaine en famille, le coût de la navette pour quatre personnes était supérieur à celui du parking de l’aéroport. De plus, le contrat léonin consenti par le Conseil général assurait au concessionnaire une rentabilité hors de proportion avec les risques que pouvaient représenter l’exploitation. Il lui garantissait aussi une absence quasi-totale de concurrence par d’autres modes de transports en commun en direction de Lyon. Au fil des années, avec la hausse de la fréquentation de la ligne, les critiques se sont multipliées. Au début 2019, la métropole de Lyon pousse le SYTRAL à négocier avec la société Rhônexpress pour réviser les clauses les plus déséquilibrées du contrat. Toutefois, au bout d’un an de négociations, il est apparu qu’aucun accord n’était possible. Dans le même temps, la chambre régionale des comptes constatait, dans un rapport rendu le 5 juillet 2019, que les avenants à la concession ont augmenté la rémunération du concessionnaire et allégé ses obligations de service. Lors de la campagne pour les élections métropolitaines de 2020, le président de la métropole de Lyon, David Kimelfeld, candidat a sa propre succession et en conflit avec son ancien mentor et désormais concurrent Gérard Collomb s’est emparé du sujet. Il a imposé la mise au votes de la résiliation lors du comité syndical du 21 février 2020 malgré l’opposition du maire de Lyon. Le comité a voté la résiliation par 12 voix contre 6 et 5 abstentions.
Le processus de résiliation a alors été engagé. Une fois la délibération notifiée au concessionnaire, le délai de préavis a commencé à courir. Il s’est achevé le 6 novembre 2020. À compter de cette date, le SyTRAL a confié l’exploitation de la ligne à Transdev Rail Rhône jusqu’au 31 décembre 2022. Le 3 décembre 2020, les questions financières liées à la résiliation de la concession ont été réglées par un accord entre le SyTRAL, Rhônexpress SAS et Transdev Rail Rhône. Le SyTRAL a versé 29,87 millions d’euros à Rhônexpress SAS, 1,9 millions à Transdev Rail Rhône et a récupéré en contrepartie 6,9 millions d’euros provisionnés pour le gros entretien et le renouvellement des équipements. Les restrictions de circulation liées à la pandémie en cours au moment de la résiliation de la concession ainsi que l’incertitude temporaire sur l’indemnisation réelle de l’ancien concessionnaire ont incité le SYTRAL en 2020 à ne finalement modifier les tarifs antérieurs que pour les employés de l’aéroport.
Les estimations de fréquentation étaient faibles en valeur absolue, soit 4 000 passagers quotidiens, elles correspondaient tout de même à une prévision de doublement de la fréquentation par rapport au service Satobus préexistant. Après un an d’exploitation, l’objectif était presque atteint.
En 2019, le nombre moyen de passagers par jour était de 4 380 (soit 1 598 729 durant l’année). En 2020, suite aux restrictions de circulation liées à la pandémie, le nombre de voyageur a chuté à 1 216 par jour (soit 444 949 durant l’année).
À ce jour, il n’existe aucun projet de prolongement sérieux de Rhônexpress. En revanche, les documents de planification envisagent bien la possibilité de prolongement des voies de la ligne Rhônexpress jusqu’à l’Isle-d’Abeau.
Références juridiques :
« Rapport : T2001.102 ‑ Projet d’utilisation de l’emprise du chemin de fer de l’Est lyonnais », Conseil Général du Rhône, 23 février 2001.
« Rapport : T2002.202 - CFEL - Mise en œuvre opérationnelle du projet de tramway périurbain Part-Dieu - Meyzieu - Saint-Exupéry », Conseil Général du Rhône, 29 mars 2002.
« Rapport : T2002.701 - Procédure de délégation de service public pour la réalisation du projet LESLYS : transport de voyageurs par tramway rapide entre Lyon Part-Dieu et Lyon Saint-Exupéry », Conseil Général du Rhône, 6 décembre 2002.
« Délibération du Conseil général n°032-1 ; Projet Leslys ligne de tramway Lyon-Part Dieu, aéroport de Lyon-Saint Exupéry - Bilan de la concertation », Conseil Général du Rhône, 7 février 2003.
« Délibération du Conseil général n°054 ; Rapport d’étape et d’information sur l’avancement du projet de tramway Leslys », Conseil Général du Rhône, 28 mai 2004.
« Délibération du Conseil général n°063 ; Leslys - Approbation du dossier de prise en considération (DPC) », Conseil Général du Rhône, 15 octobre 2004.
« Délibération du Conseil général n°069 ; Chemin de fer de l’Est lyonnais (CFEL) - Demandes de permis de démolir », Conseil Général du Rhône, 15 octobre 2004.
« Délibération du Conseil général n°039 ; Projet Leslys - Lancement des procédures d’enquêtes publiques », Conseil Général du Rhône, 18 mars 2005.
« Délibération du Conseil général n°078 ; Projet Leslys - Lancement d’une nouvelle procédure », Conseil Général du Rhône, 31 mars 2006.
« Délibération du Conseil général n°038 ; LESLYS - Choix du prestataire », Conseil Général du Rhône, 15 décembre 2006.
« Délibération du Conseil général n°026 ; Leslys - Conventions », Conseil Général du Rhône, 30 mars 2007.
« Délibération du Conseil général n°047 ; Leslys - Lancement des procédures d’enquêtes publiques et bilan de la consultation préalable », Conseil Général du Rhône, 25 mai 2007.
« Délibération du Conseil général n°025 ; Leslys - Déclaration de projet », Conseil Général du Rhône, 1er février 2008.
« Délibération du Conseil général n°026 ; Leslys - Mandat à la société Rhônexpress pour l’acquisition des terrains », Conseil Général du Rhône, 1er février 2008.
« Délibération du Conseil général n°060 ; Leslys - Avenant n° 1 au contrat de concession », Conseil Général du Rhône, 16 mai 2008.
« Délibération du Conseil général n°036 ; Leslys - Avenant n° 1 à la convention avec le Sytral », Conseil Général du Rhône, 24 octobre 2008.
« Délibération du Conseil général n°035 ; Leslys - Avenant n° 2 au contrat de concession », Conseil Général du Rhône, 19 décembre 2008.
« Délibération du Conseil général n°070 ; Leslys - Convention avec la SNCF », Conseil Général du Rhône, 24 juillet 2009.
« Délibération du Conseil général n°039 ; Rhônexpress - Avenant n° 2 à la convention passée avec le SYTRAL », Conseil Général du Rhône, 12 février 2010.
« Délibération du Conseil général n°049 ; Infrastructure commune T3/Rhônexpress », Conseil Général du Rhône, 26 mars 2010.
« Délibération du Conseil général n°022 ; Rhônexpress - Tarifs applicables à la mise en service », Conseil Général du Rhône, 11 juin 2010.
« Délibération du Conseil général n°016 ; Rhônexpress - Avenant n° 3 au contrat de concession », Conseil Général du Rhône, 30 septembre 2011.
« Délibération du Conseil général n°050 ; Rhônexpress - Rapport d’étape », Conseil Général du Rhône, 20 juillet 2012.
« Délibération du Conseil général n°009 ; Rhônexpress - Avenant n° 4 au contrat de concession », Conseil Général du Rhône, 4 octobre 2013.
« Délibération du Conseil de la Métropole de Lyon n°2014-0439 ; Transfert de l’organisation et du fonctionnement de la liaison ferrée express entre Lyon et l’aéroport Lyon Saint Exupéry au Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (SYTRAL) », Conseil de la Métropole de Lyon, 15 décembre 2014.
« Délibération du Conseil général n°040-2 ; Transfert de Rhônexpress », Conseil Général du Rhône, 18 décembre 2014.
« Délibération du Conseil de la Métropole de Lyon n°2015-0419 ; Transfert de l’organisation et du fonctionnement de la liaison ferrée express entre Lyon et l’aéroport Lyon Saint Exupéry au Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (SYTRAL) - Convention de financement », Conseil de la Métropole de Lyon, 6 juillet 2015.
« Délibération n°15.056, Transfert de l’organisation et du fonctionnement de la liaison ferrée express entre Lyon et l’aéroport Lyon-Saint Exupéry au Syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise (SYTRAL) - Convention de financement », Comité du syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise, 19 juin 2015.
« Délibération n°15.114, Organisation de la ligne Rhônexpress - Signature d’une convention d’occupation temporaire du domaine public avec la Métropole de Lyon », Comité du syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise, 13 novembre 2015.
« Délibération n°15.133, Transfert de l’organisation et du fonctionnement de la ligne rhônexpress - Convention pluriannuelle de financement Métropole Lyon/SYTRAL », Comité du syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise, 14 décembre 2015.
« Délibération n°20.012, Résiliation de la concession Rhônexpress pour des motifs d’intérêt général (article 39.1 du cahier des charges de la concession) », Comité du syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise, 21 février 2020.
« Délibération n°20.029, Avenant n°3 au contrat d’exploitation et de maintenance du service ferré express », Comité du syndicat mixte des transports pour le Rhône et l’agglomération lyonnaise, 19 octobre 2020.