Ferro-Lyon
Métros, trams, trains, funiculaires lyonnais…
Les installations et équipements
Publié le 22-11-2009 à 19h25. (mis à jour le 03-02-2014 à 19h05.)
Sommaire de l’article
Les autres établissements
Pour les gares standards, les TDI avaient prévu la réalisation de bâtiments voyageurs avec un rez-de-chaussée et un étage d’une surface au sol de 50 m2. Au rez-de-chaussée, le bâtiment accueillait un bureau, une salle d’attente, et un local à bagages. Un escalier montait au premier étage où se trouvaient deux chambres. Les toilettes étaient installées dans une annexe accolée au bâtiment. Indépendamment était installé un locale à marchandises d’environ 25 m2 accolé à un quai haut. Les gares de La Côte-Saint-André, Saint-Jean-de-Bournay, Le Grand-Lemps, Saint-Siméon-de-Bressieux et La Frette étaient équipées de la sorte.
Le Sud-France a construit des bâtiments voyageurs reprenant les mêmes fonctions, mais sur des surfaces plus petites. En revanche, la halle pour les marchandises était systématiquement accolée au bâtiment voyageurs, sauf à Heyrieux et Roybon. L’ornementation architecturale des bâtiments a aussi tenu aux participations qu’ont versé les communes. Ainsi, les chaînages d’angles sont en pierres apparentes à Saint-Geoire-en-Valdaine et Corbelin. La station Camp de Chambarand reçu elle un bâtiment à étage plus vaste que celui de bien des gares.
Un certain nombre de gares (ou d’établissement classés comme tel) dû se contenter « d’abri » dont l’ampleur réduite les réservaient normalement aux stations. Ceux-ci, tous construits par le Sud-France ou les VFD n’étaient absolument pas standardisés. Leur seul point commun était de ne pas comporter d’étage, et d’avoir une surface inférieur 33 m2. Ainsi, les gares des Avenières, de la Tour-du-Pin, de Pont-de-Beauvoisin – Ville, Veyrins, Saint-Albin-de-Vaulserre et Chirens durent se contenter de ces édifices modestes. On retrouvait aussi ce type d’édifice dans les stations… Et exceptionnellement des arrêts facultatifs. On peut noter en particulier l’abri assez semblable aux kiosques de tramway urbains qui équipait l’arrêt de La Côte-Saint-André – Esplanade.
Dans certaines stations aucun abri ne fut jamais construit, et elle demeurèrent jusqu’à la fin assimilées à des arrêts facultatifs.